dressage de chien à montréal

Qui n’a jamais entendu ces phrases « C’est juste un chien ! », « Ce n’est pas un enfant ! » Je pense que la majorité des propriétaires d’animaux ont déjà entendu des phrases similaires. Bien souvent, ces phrases dites tout bonnement ne sont pas sans conséquences et peuvent blesser les gens autour de nous, moi la première.

Alors, peut-on aimer autant un chien qu’un enfant ?

Attention, je ne dis pas que l’un est plus important que l’autre, là n’est pas la question ! Je parle plutôt du lien d’attachement et des sentiments que l’on peut ressentir envers un chien, ou un autre animal de compagnie.

Un enfant et un chien ce n’est pas le même « être vivant », on s’entend ! Et pourtant, l’amour ou l’attachement qu’on éprouve envers nos bêtes poilues ressemblerait drôlement à celui qu’un parent ressent envers son enfant ! Pourquoi donc ?

* Je vais utiliser le terme chien, mais cela est valable pour n’importe quel animal de compagnie ! 

Avoir un chien c’est comme avoir un enfant

Lorsqu’on a un enfant nous :

• en prenons soin ;
• nous levons la nuit pour répondre à ses besoins ;
• nous le nourrissons ;
• nous l’éduquons ;
• nous lui donnons de l’affection ;
• nous lui montrons les bonnes manières ;
• nous faisons des activités avec lui ;
• etc.

Lorsque nous avons un chien, nous faisons sensiblement les mêmes choses ! Tout comme un enfant, notre chien dépend de nous pour combler ses besoins essentiels à sa survie et à son bien-être.

Pour en savoir plus sur les besoins du chien :

• Faire travailler son chien mentalement – activités intérieures
• TOP 5 des résolutions de votre chien !
• Rendre votre chien heureux : lui permettre de faire des choix

La place d’un chien et d’un enfant dans la famille

Tous ces petits gestes que nous faisons pour lui et avec lui créent aussi un lien avec lui. Nous prenons du temps quotidiennement pour lui, tout comme on le fait avec un enfant et c’est 100% normal ! Pour beaucoup de gens, leur animal est un membre de la famille. C’est un être vivant dont ils sont responsables et qu’ils aiment. Ce n’est pas un bibelot !

La différence est qu’un jour l’enfant sera autonome, contrairement au chien qui reste dépendant de nous toute sa vie !

Qu’est-ce qui nous pousse à aimer un animal de compagnie?

Je n’ai évidemment pas la réponse absolue à cette question ni de liste exhaustive à cet effet. Par contre, voici quelques éléments de réponse :

• Passer du temps de qualité
• Prendre soin de l’autre
• Le fait de «materner»
• L’amour inconditionnel
• Ne pas se sentir jugé
• Affinités qui se créent

Un lien d’attachement se crée envers l’animal, tout comme c’est le cas envers un enfant et même envers d’autres gens qui nous entourent. L’animal fait partie de notre quotidien, et sa perte peut créer un grand vide dans notre vie.

1) Les mêmes zones du cerveau sont utilisées

Des psychiatres américains ont analysé l’activation des zones du cerveau d’une mère lorsqu’elle observe son enfant et lorsqu’elle observe son chien. Les zones associées à l’attachement, aux liens d’affiliation et aux émotions seraient activées sensiblement de la même façon que la mère regarde son chien ou son enfant. [1]

Lorsque les mères observaient les photos d’enfants et des chiens des autres, les zones du cerveau ne s’activaient pas comme lorsque elles regardaient leur propre enfant ou chien !

2) Sécrétion de l’hormone de l’amour

Plus récemment, le chercheur vétérinaire Dr Takefumi Kikusui de l’université Azabu au Japon a découvert que l’ocytocine, l’hormone associée à l’amour, augmente tant chez le chien que chez l’humain lorsque ceux-ci se regardent dans les yeux, un peu comme lorsqu’une mère et son bébé se regardent.

3) Mutation du gêne responsable du Syndrome de William’s

De son côté, Bridgett von Holdt à l’université de Californie Los Angeles, a découvert en 2009 que les chiens sont porteurs de la même mutation génétique que l’on retrouve chez les humains atteints du Syndrome de William’s et qui est responsable de leur hypersociabilité. Ceci pourrait expliquer, entre autre, pourquoi les chiens sont tant enclins à se rapprocher des humains et à s’attacher à eux.

4) Sélection génétique de certaines caractéristiques

Si vous regardez un chien et comparez son apparence physique avec celle d’un loup ou d’un autre canidé sauvage, vous pourrez remarquer que le chien a un visage plus rond et de plus grands yeux. En effet, on croit qu’avec le temps, l’humain a sélectionné des chiens ayant un aspect plus jeune et qui fait appel à nos émotions maternelles.

Nous savons aussi que les chiens ont les muscles des sourcils et autour des yeux plus développés que leur ancêtre. Il s’agit d’ailleurs de l’une des plus grandes différences liée à la domestication du loup vers le chien! C’est ce qui leur permet d’avoir davantage d’expressions faciales que leurs ancêtres, ce qui ne manque pas de charmer les humains ! Qui n’a jamais craqué devant Fido qui fait son petit air de chien battu ?

En plus de ces caractéristiques physiques, l’humain a aussi sélectionné des individus canins ayant certaines caractéristiques comportementales telles les jappements et le fait que  le chien soit joueur. Tout comme les traits physiques, les traits comportementaux que l’Homme a privilégié au fil du temps sont des caractéristiques associées à  la docilité et l’enfance : ce type de sélection génétique se nomme la néoténie.

5) Le chien comprend et réagit aux différents tons de voix

Les études démontrent que le cerveau de nos compagnons canins traite le langage de façon assez similaire à celui des humains. En effet, leurs cerveaux utilisent les deux hémisphères et sensiblement les mes zones que celles de l’Homme. Les chiens sont particulièrement sensibles et réactifs au ton de voix que l’on emploie lorsqu’on parle et ils les interprètent de la même manière que nous. Voilà ce qui explique pourquoi Fido aime tant qu’on lui parle avec une voix enjouée et aiguë !

Ne vous sentez pas mal d’aimer votre compagnon canin!

Il est tout à fait normal d’aimer autant son animal et de le considérer comme un membre de la famille. Vous en prenez soin et il dépend de vous. Donnez-lui autant d’amour que vous voulez et soyez fier de l’aimer ! Ne prêtez pas attention aux propos des gens qui vous disent que vous l’aimez trop et que ce n’est pas un enfant !

Vous souhaitez en savoir plus ? Simonne Raffa, propriétaire de De Main De Maître, a justement participé à la rédaction d’un article à ce sujet dans le magazine Urbania il y a quelques années.

Article rédigé par Cassandra Patenaude, intervenante en comportement canin

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Références

• [1] https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0107205

Au Québec, environ 500 000 animaux sont abandonnés chaque année. Nos animaux de compagnie ont une «durée de vie moyenne» dans nos foyers de 18 mois. De plus, notre province est tristement reconnue pour ses usines à chiots, ses nombreux cas de cruauté envers les animaux et sa surpopulation en refuge. Le Québec est surnommé le « tiers-monde en ce qui concerne la cruauté envers les animaux ».

Qui sont ces animaux qui se font abandonner? Pourquoi ces chiens s’y retrouvent?

Beaucoup de gens hésitent à adopter un chien de refuge, car ils croient à tort que la majorité de ces chiens ont des problèmes de comportement, des problèmes de santé ou qu’il n’y a que des vieux chiens.

Voyons ensemble les principales causes d’abandons… Vous pourriez être surpris!

1. Déménagement et les logements qui n’acceptent pas les chiens

Lorsqu’arrive la saison des déménagements, la SPCA de Montréal reçoit mensuellement environs 1600 animaux contre en moyenne 600 animaux par mois le reste de l’année. Il faut avouer qu’il y a un réel problème dans la disponibilité des logements qui acceptent les chiens. Pour certaines familles, dont la situation est précaire, il est souvent déjà difficile de trouver un appartement abordable et qui correspond à leurs besoins. Lorsque le « droit aux animaux » s’ajoute à la liste, ça peut devenir un véritable casse-tête.

Si vous pensez déménager avec votre animal prochainement, ces deux articles pourraient vous aider:

• Gérer le stress de son chien lors du déménagement
• Trouver un appartement qui accepte les chiens au Québec

2. Abandonner son chien car «on manque de temps»

Les adoptions sur un coup de tête (dans les petites annonces ou en animalerie), ou encore un chien reçu en cadeau, peuvent amener les gens à se retrouver avec un chien sans en avoir le mode de vie qui convient.

Certaines races de chiens attirent beaucoup par leur allure (par exemple le Husky, le Berger Australien, le Border Collie) et les gens les adoptent sans nécessairement savoir que ces chiens ont besoin d’énormément d’activités physiques et de stimulations mentales.
La plupart des personnes désirent adopter un chiot, mais ne considèrent pas toujours que l’éducation d’un chiot prend beaucoup de temps (la socialisation, l’apprentissage de la propreté, les cours d’obéissance, etc.).

D’ailleurs, la grande majorité des chiens en refuge sont âgés entre 6 mois et 3 ans. Souvent, les gens adoptent un chiot, se rendent comptent lorsque le chiot vieillit que son niveau d’énergie est trop élevé et qu’ils n’ont pas le temps de l’éduquer. Selon Petfinder, 96% des chiens qui sont abandonnés en refuge n’ont aucun entraînement de base (bien marcher en laisse, s’asseoir,etc.).

Il est vraiment important de s’informer sur les besoins et le tempérament du chien avant de l’adopter. Certaines solutions existent, comme adopter un chien adulte souvent déjà éduqué, faire appel à un promeneur de chien ou une garderie pour que notre chien se dépense lors de nos absences au travail.
 

3. Un membre de la famille est allergique aux chiens

Il arrive que des personnes adoptent un animal sans s’avoir qu’elles y sont allergiques. Il arrive parfois aussi que des allergies se développent avec le temps ou alors que la famille s’agrandisse et que le bébé soit allergique.

Il est important d’abord de s’assurer que l’allergie est bel et bien causée par l’animal. Vous pouvez vous informer auprès de votre médecin pour connaître quelles mesures prendre pour en diminuer les symptômes : par exemple ne pas faire dormir le chien dans la chambre à coucher, se laver les mains régulièrement,  retirer les tapis, etc. Votre vétérinaire peut aussi vous conseiller des produits qui aident à réduire les allergies.

Si toutefois les symptômes sont trop forts, vous pouvez vous tourner vers certaines races de chiens qui sont moins allergènes : le Caniche, le Bichon frisé, le Shih tzu ou le Bouvier des flandres. Attention! Il se peut que vous soyez quand même allergique à ces races de chiens considérées «hypoallergiques».

Vous pouvez aller voir chez un éleveur ou dans un refuge pour rencontrer ces chiens et voir si vous y êtes allergique. Si vous allez en refuge, vous pourriez même être famille d’accueil!

4. Problèmes de comportement canins

Le terme «problème de comportement» est assez large. Il peut s’agir simplement d’éducation de base (chien qui tire trop en laisse), d’un chien destructeur qui n’est pas suffisamment stimulé et qui trouve une façon de dépenser son énergie qui ne plait pas au propriétaire ou encore de problèmes plus sérieux comme de l’anxiété ou de l’agressivité.
Avant de partir en peur, il faut savoir qu’un chien qui présente un problème de comportement dans une famille ne le présentera pas nécessairement dans sa nouvelle famille d’adoption.

L’environnement et la méthode d’éducation du chien vont beaucoup influencer le comportement de l’animal. On peut penser aussi qu’un chien abandonné pour de l’anxiété de séparation sera très heureux dans une famille où il y a toujours quelqu’un à la maison (retraité ou travail à la maison) ou encore à un chien très réactif envers les voitures qui se plaira très bien en campagne.

5. Raisons financières

Un chien ça peut coûter très cher… Entre 3000$ et 5000$ par année! La première année de vie est sans doute la plus coûteuse:

• L’adoption du chien peut coûter jusqu’à 3000$ chez un éleveur enregistré et éthique
• La stérilisation (entre 150$ et 450$)
• Les vaccins, les accessoires (cage, laisse, collier, harnais, jouets)
• Les cours de maternelle et d’obéissance
• Une nourriture de qualité
• Le toilettage
• Les vaccins annuels
• La médaille de la ville
• Le promeneur
• La pension si on part en vacances…

Ce sont toutes des dépenses à considérer avant d’adopter un chien!

Si un chien développe un problème de comportement ou nécessite des soins vétérinaires, la facture peut monter rapidement.

Même si elles ne sont pas assez nombreuses, certaines ressources sont toutefois mises en place pour aider les personnes à faible revenu, par exemple la clinique vétérinaire Mittens de la SPCA de Montréal offre la stérilisation et la vaccination à moindre coût pour ce type de clientèle. Certaines cliniques vétérinaires acceptent aussi de faire des ententes avec les banques pour permettre de payer en plusieurs paiements la facture.

De plus, il est conseillé de souscrire à une assurance maladie pour votre chien ou bien d’économiser 20$ par semaine afin de pouvoir subvenir à ses besoins en cas de maladie grave.

Les solutions pour réduire le nombre d’abandons de chiens:

• Interdire la vente d’animaux de compagnie dans les boutiques pour animaux et dans les petites annonces.
• Rendre la stérilisation obligatoire pour tous les animaux de compagnie (sauf pour les éleveurs canins).
• Plus de réglementation pour faire l’élevage de chiens (et de l’ensemble des animaux de compagnie)
• Contrôle, amendes et peines d’emprisonnement plus sévères pour les propriétaires d’usines à chiots.
• Obtention d’un permis obligatoire pour avoir un animal de compagnie conditionnel au fait d’avoir suivi un cours pré-adoption, et de suivre un cours d’éducation canine post-adoption.

Vous hésitez toujours à vous rendre en refuge ? Pensez-y bien. La plupart des chiens s’y retrouvent pour plusieurs raisons qui n’ont rien à voir avec des problèmes de comportement. Ils n’attendent qu’un foyer aimant permanent. Par exemple, les Chiens Togo forment des chiens de refuge pour devenir des chiens d’assistance. Serait-ce le vôtre..?

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Article rédigé par Clara Gosselin-Saucier, intervenante en comportement canin avec la collaboration d’Amélie Martel, avocate pour la SPCA de Montréal et de Coline Guérin, ancienne évaluatrice à la SPCA de Montréal

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La domestication des chevaux remonte à plus de 2500 ans. L’évolution de la relation homme-cheval a connu de grands tournants avec l’ère industrielle. La désuétude du transport à dos de cheval a fait passer l’animal au second plan.

Toutefois, même aujourd’hui, rares sont les personnes qui possèdent un cheval sans le monter. L’équitation est devenue un loisir et n’est plus une nécessité pour l’homme dans la majorité des cas. Toutefois, est-ce un plaisir aussi pour votre cheval?

Redéfinir l’équitation et la relation homme-cheval

Force est d’admettre que les chevaux ne sont pas nés avec l’envie de se faire monter. La domestication a fait en sorte que nous avons sélectionné des chevaux de plus en plus tempérés, mais cela n’a pas permis de créer des chevaux nés avec l’envie de faire du saut d’obstacles et des pirouettes au galop.

Les divers types d’équitations connues aujourd’hui sont pratiquement tous basés sur les anciennes fonctions d’utilités quotidiennes du cheval.

Qu’en est-il de la condition de vie du cheval dans ce contexte où les fonctions utilitaires du cheval sont désuètes et que celui-ci est considéré comme un pur loisir?

Lire et interpréter les signes du langage équin requiert une grande attention. C’est comparable à l’étendu de la signification contextuelle des signaux d’apaisements chez le chien. La distinction principale est la subtilité des signaux chez le cheval, bien avant les classiques signes transparents que sont les fouaillements de queue et les oreilles dans le crin.

Remettre en question nos méthodes d’éducation et d’équitation pour le bien du cheval c’est de s’orienter vers une relation plus juste avec cet animal qui nous apporte tant.

Le cheval : une partie de notre histoire

Il y a une noblesse et une beauté sans égale dans la finesse des manœuvres de l’équitation. Une fascination justifiée quand on observe le contrôle de l’homme sur cette énorme bête! L’utilité du cheval, la finesse du dressage équestre et les gymnastiques équestres constituent une part de l’histoire dont le Cadre Noir fait l’éloge. Personnellement, j’aimerais conserver une partie de cette culture tout en y ajoutant les connaissances actuelles de l’entraînement animalier.

Horsemanship, éthologie, liberté : quand la fin justifie les moyens

Dans l’entraînement animalier éthique, les résultats finaux ne justifient jamais la méthode utilisée.

À titre d’exemple,  le cabré ne s’obtient pas en défense d’une chambrière. Le travail sans mors ne s’obtient pas par une diminution des aides passant de mors à licou à cordelette. L’entraînement dit éthique prend pour acquis que l’entraînement d’un animal domestique est pour le plaisir de l’homme. Il va donc de soi que ce n’est pas à l’animal d’en payer les conséquences et que toutes les manœuvres doivent être apprises aux travers d’exercices techniques distincts.

L’entraînement éthique commence donc positivement, dès le début. Il n’est pas une réduction des outils coercitifs. Rechercher le plein vouloir de l’animal n’est pas tâche facile.

C’est ce qu’on appelle l’entraînement par motivation. Ce type d’entraînement est mieux connue dans le domaine canin qu’équin, mais ce n’est qu’une question de temps avant que les cavaliers se rendent compte de son efficacité.

La science du comportement explique toutes les méthodes de dressage équestre

Les différents courants de pensées du domaine équestre portent rapidement à confusion, autant dans leur essence que dans les techniques proposées.

Si toutes les méthodes découlaient d’expériences des uns et des autres, ce ne serait qu’un fruit du hasard d’obtenir des résultats. Je n’enlève rien à l’expérience, mais dans un contexte pratique, l’expérience a besoin de fondations solides. Personnellement, j’ai trouvé rassurant de savoir que toutes ces idéologies pouvaient être expliquées scientifiquement. C’est-à-dire que les procédés fonctionnent toujours selon les règles de l’apprentissage.

La science comportementale, les études sur la psychologie, l’étude sur les divers types d’apprentissages ainsi que l’étude des comportements naturels d’une espèce sont des bases quand il s’agit de comportement animal.

Le virage proposé incite à une mise à jour des techniques éducatives et une remise en question des plaisirs réels du cheval. Équina propose d’ajouter des outils motivants pour le bien-être psychologique de votre cheval. D’autre part, des exercices et de la théorie pour optimiser les méthodes de gestion des chevaux  et veiller à répondre à leur besoin naturel feront partie des sujets abordés au sein de votre parcours avec Équina.

Un pont entre l’équitation classique et les méthodes d’apprentissage actuelles

Mon objectif premier est d’augmenter la qualité de vie des chevaux en optimisant les méthodes de gestion et d’éducation. Ceci commence par des cours théoriques sur l’éthogramme naturel du cheval ainsi que par des notions de bases sur l’entrainement animalier.

Être une bonne cavalière, c’est tout un art. Bien saisir la biomécanique du cheval et comprendre les gymnastiques équestres, c’est tout un domaine! Et, encore là, nous n’avons pas abordé le comportement et le langage utilisé par les chevaux.

Je suis en constant apprentissage dans plusieurs sphères de mon métier et plus à l’aise dans l’aspect comportemental équin que dans l’application du travail monté. Néanmoins, je suis en cours d’obtention de mon cavalier 6 et instructeur 1 de la Fédération Équestre du Québec.

Modifier le comportement de son cheval

Je me base principalement sur l’équitation de tradition française et portugaise puisque les écrits et les connaissances du travail monté avec motivation sont encore assez marginaux. Ces types d’équitation sont ceux qui, à la base, recherchent le moins de contraintes possibles.

Bien que ma vision de la relation homme-cheval a pris un nouveau tournant auprès d’Alexandra Kurland, Peggy Hogan , Hannah Weston et Shawna Karrash, je ne peux m’empêcher de souligner l’impact de la lecture de ces personnalités du domaine équin : Francois Baucher, Phillipe Karl, Nuno Oliveira, Frederic Pignon, Monty Roberts, John Lyons, Elizabeth de Corbigny, Véronique de St-Vaulry, Linda Tellington Jones, Michel Henriquet.

Mes formations reliées au comportement et au dressage du cheval :

• Cavalier 6 et Instructeur 1  Classique – en cours d’obtention
• Plus de 500 heures de formation en comportement animal
• Formation complète de Jacinthe Bouchard
• Cours privés auprès de Zuzanna Kubica
• Certification en Clicker avec chevaux par Alexandra Kurland – En cours d’obtention
• Stage de travail monté et de posture avec Frank Grelo
• Cours d’éthologie équine de 15 semaines offert par  Marine Cassoret( AZCA) .
• Anna Marcianak – approfondir sa relation équestre
• Anciennement professeur de danse et gymnastique- compréhension du corps humain et aide globale pour le travail monté

Vous avez besoin d’aide avec votre cheval? Vous souhaitez apprendre des techniques d’entraînement différentes? Contactez-moi via mon entreprise Équina pour plus d’informations.

Article rédigé par Audrey Michaud Ryan, comportementaliste pour chiens et chevaux

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• Formation avancée en entraînement animalier
• Le guide du chiot
• Dresseur de chien dans les Laurentides et Mont-Tremblant